Interviews

Maxïmo Park, Le rock signé Warp

Paul Smith, le chanteur charismatique de Maxïmo Park nous dévoile son amour pour la France. Rencontre à l’occasion du festival « Art Rock » (session 2009) à Saint Brieuc (22), le groupe gagne actuellement des fans supplémentaires en continuant sa tournée Européenne dans l’est. L’Allemagne aura la chance cette automne de découvrir la nouvelle tournée puisque le groupe a décidé d’y faire un tour!

Vous avez enregistré votre album avec l’aide de Nick Launay, entre autre producteur de Nick Cave (dont vous êtes fan semble-t-il ?). Quels ont été les fruits d’une telle collaboration ?
Nick Launay nous a aidé à obtenir un nouveau son, une rythmique plus « groovy » et nous a permis de créer des morceaux plus expérimentaux en utilisant de nouveaux sons de guitare et de clavier.


Vous empruntez des directions musicales surprenantes comme le choix de jouer avec une basse à six cordes ou un clavier vintage (Roland 808). Pourquoi un tel choix ?

Ceux qui connaissent nos albums sauront que les sons de clavier n’ont rien de nouveau, c’était déjà le cas dans des chansons comme « Limassol » et « Our velocity ». Cependant, nous aimons nous lancer des défis. A nous, mais aussi à nos fans. Alors nous avons joué sur de nouveaux synthétiseurs analogiques et enregistré des guitares vintages. L’enregistrement à Los Angeles nous a donné le luxe d’avoir accès à tous ces instruments.

La presse vous compare souvent aux Kaisers Chiefs
dont vous avez souvent fait la première partie. Et vous, vous en pensez quoi?

Je pense que nos deux groupes sont plutôt connus en tant qu’entités distinctes. Musicalement, nous sommes tout à fait différents. Notre musique est plus basée sur la réflexion et le côté romantique des rapports humains. Nous avons eu plaisir à jouer de grands concerts avec eux…

Depuis vos deux précédents opus, vous avez acquis votre public dans la plupart des pays Européens. Pour la sortie de votre troisième disque la tournée printanière est déjà « sold-out ». Cela doit être réjouissant de savoir que l’on joue à guichet fermé ?
Je suis très heureux que les gens continuent à revenir pour nos concerts. Nos précédents concerts devaient être bons! Mais on ne se repose pas sur nos acquis et nous nous donnons à chaque fois à 100%.

Vous avez fait le choix d’enregistrer à Los Angeles et vous faites votre tournée US en septembre. Après avoir conquis votre public européen vous exportez votre musique. Comment est-elle perçue par les américains?
Nous n’avons pas un très gros public en Amérique mais il est fidèle. Il sera toujours difficile pour nous de se produire avec l’étiquette «rock indé ». Mais nous sommes toujours pleins d’espoir quand à nos concerts. Nous comptons beaucoup sur le bouche à oreille. Enregistrer aux Etats-Unis, c’était l’endroit idéale pour s’équiper d’instruments adéquats pour le nouvel album mais on ne connait pas spécialement le marché du disque, ce qui nous importe plutôt c’est de jouer et de nous exprimer en studio.

Paul Smith, vous dites que depuis que votre copine vous a emmené visiter Paris, votre histoire d’amour avec la ville (pas la fille…) n’a cessé de grandir. Doit-on comprendre qu’on vous verra plus souvent en France ?
Naturellement ! On essaie d’adapter nos concerts en fonction des pays dans lesquels nous jouons. J’’espère continuer ma liaison amoureuse avec Paris et en apprendre plus sur d’autre régions françaises.

Propos recceuillis en mai 2009 lors du festival « Art Rock » Par Thomas-Jankev GUEZOU pour Paplar Magazine et Les Oreilles de Jankev.

Maxïmo Park, la signature rock de Warp

Paul Smith, le chanteur charismatique de Maxïmo Park nous dévoile son amour pour la France. Rencontre à l’occasion du festival « Art Rock » à Saint Brieuc (22), le groupe gagne actuellement des fans supplémentaires en continuant sa tournée Européenne dans l’est. L’Allemagne aura la chance cette automne de découvrir la nouvelle tournée puisque le groupe a décidé d’y faire un tour!

Vous avez enregistré votre album avec l’aide de Nick Launay, entre autre producteur de Nick Cave (dont vous êtes fan semble-t-il ?). Quels ont été les fruits d’une telle collaboration ?

Nick Launay nous a aidé à obtenir un nouveau son, une rythmique plus « groovy » et nous a permis de créer des morceaux plus expérimentaux en utilisant de nouveaux sons de guitare et de clavier.


Vous empruntez des directions musicales surprenantes comme le choix de jouer avec une basse à six cordes ou un clavier vintage (Roland 808). Pourquoi un tel choix ?

Ceux qui connaissent nos albums sauront que les sons de clavier n’ont rien de nouveau, c’était déjà le cas dans des chansons comme « Limassol » et « Our velocity ». Cependant, nous aimons nous lancer des défis. A nous, mais aussi à nos fans. Alors nous avons joué sur de nouveaux synthétiseurs analogiques et enregistré des guitares vintages. L’enregistrement à Los Angeles nous a donné le luxe d’avoir accès à tous ces instruments.

La presse vous compare souvent aux Kaisers Chiefs dont vous avez souvent fait la première partie. Et vous, vous en pensez quoi?

Je pense que nos deux groupes sont plutôt connus en tant qu’entités distinctes. Musicalement, nous sommes tout à fait différents. Notre musique est plus basée sur la réflexion et le côté romantique des rapports humains. Nous avons eu plaisir à jouer de grands concerts avec eux…

Depuis vos deux précédents opus, vous avez acquis votre public dans la plupart des pays Européens. Pour la sortie de votre troisième disque la tournée printanière est déjà « sold-out ». Cela doit être réjouissant de savoir que l’on joue à guichet fermé ?

Je suis très heureux que les gens continuent à revenir pour nos concerts. Nos précédents concerts devaient être bons! Mais on ne se repose pas sur nos acquis et nous nous donnons à chaque fois à 100%.

Vous avez fait le choix d’enregistrer à Los Angeles et vous faites votre tournée US en septembre. Après avoir conquis votre public européen vous exportez votre musique. Comment est-elle perçue par les américains?

Nous n’avons pas un très gros public en Amérique mais il est fidèle. Il sera toujours difficile pour nous de se produire avec l’

Maxïmo Park, la signature rock de Warp

Paul Smith, le chanteur charismatique de Maxïmo Park nous dévoile son amour pour la France. Rencontre à l’occasion du festival « Art Rock » à Saint Brieuc (22), le groupe gagne actuellement des fans supplémentaires en continuant sa tournée Européenne dans l’est. L’Allemagne aura la chance cette automne de découvrir la nouvelle tournée puisque le groupe a décidé d’y faire un tour!

Vous avez enregistré votre album avec l’aide de Nick Launay, entre autre producteur de Nick Cave (dont vous êtes fan semble-t-il ?). Quels ont été les fruits d’une telle collaboration ?

Nick Launay nous a aidé à obtenir un nouveau son, une rythmique plus « groovy » et nous a permis de créer des morceaux plus expérimentaux en utilisant de nouveaux sons de guitare et de clavier.


Vous empruntez des directions musicales surprenantes comme le choix de jouer avec une basse à six cordes ou un clavier vintage (Roland 808). Pourquoi un tel choix ?

Ceux qui connaissent nos albums sauront que les sons de clavier n’ont rien de nouveau, c’était déjà le cas dans des chansons comme « Limassol » et « Our velocity ». Cependant, nous aimons nous lancer des défis. A nous, mais aussi à nos fans. Alors nous avons joué sur de nouveaux synthétiseurs analogiques et enregistré des guitares vintages. L’enregistrement à Los Angeles nous a donné le luxe d’avoir accès à tous ces instruments.

La presse vous compare souvent aux Kaisers Chiefs dont vous avez souvent fait la première partie. Et vous, vous en pensez quoi?

Je pense que nos deux groupes sont plutôt connus en tant qu’entités distinctes. Musicalement, nous sommes tout à fait différents. Notre musique est plus basée sur la réflexion et le côté romantique des rapports humains. Nous avons eu plaisir à jouer de grands concerts avec eux…

Depuis vos deux précédents opus, vous avez acquis votre public dans la plupart des pays Européens. Pour la sortie de votre troisième disque la tournée printanière est déjà « sold-out ». Cela doit être réjouissant de savoir que l’on joue à guichet fermé ?

Je suis très heureux que les gens continuent à revenir pour nos concerts. Nos précédents concerts devaient être bons! Mais on ne se repose pas sur nos acquis et nous nous donnons à chaque fois à 100%.

Vous avez fait le choix d’enregistrer à Los Angeles et vous faites votre tournée US en septembre. Après avoir conquis votre public européen vous exportez votre musique. Comment est-elle perçue par les américains?

Nous n’avons pas un très gros public en Amérique mais il est fidèle. Il sera toujours difficile pour nous de se produire avec l’étiquette «rock indé ». Mais nous sommes toujours pleins d’espoir quand à nos concerts. Nous comptons beaucoup sur le bouche à oreille. Enregistrer aux Etats-Unis, c’était l’endroit idéale pour s’équiper d’instruments adéquats pour le nouvel album mais on ne connait pas spécialement le marché du disque, ce qui nous importe plutôt c’est de jouer et de nous exprimer en studio.

Paul Smith, vous dites que depuis que votre copine vous a emmené visiter Paris, votre histoire d’amour avec la ville (pas la fille…) n’a cessé de grandir. Doit-on comprendre qu’on vous verra plus souvent en France ?

Naturellement ! On essaie d’adapter nos concerts en fonction des pays dans lesquels nous jouons. J’’espère continuer ma liaison amoureuse avec Paris et en apprendre plus sur d’autre régions françaises.

Propos recceuillis en mai 2009 lors du festival « Art Rock » Par Thomas-Jankev GUEZOU pour SaltOnPaper & Paplar Magazine

étiquette «rock indé ». Mais nous sommes toujours pleins d’espoir quand à nos concerts. Nous comptons beaucoup sur le bouche à oreille. Enregistrer aux Etats-Unis, c’était l’endroit idéale pour s’équiper d’instruments adéquats pour le nouvel album mais on ne connait pas spécialement le marché du disque, ce qui nous importe plutôt c’est de jouer et de nous exprimer en studio.

Paul Smith, vous dites que depuis que votre copine vous a emmené visiter Paris, votre histoire d’amour avec la ville (pas la fille…) n’a cessé de grandir. Doit-on comprendre qu’on vous verra plus souvent en France ?

Naturellement ! On essaie d’adapter nos concerts en fonction des pays dans lesquels nous jouons. J’’espère continuer ma liaison amoureuse avec Paris et en apprendre plus sur d’autre régions françaises.

Propos recceuillis en mai 2009 lors du festival « Art Rock » Par Thomas-Jankev GUEZOU pour SaltOnPaper & Paplar Magazine

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